Son n°145
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L'escalier monumental
L’escalier a été restauré en 1872 à l’initiative d’Armand Fallières. La statue d’Henri IV fut déplacée à la place de Normandie (actuelle place du Général-Leclerc) et l’escalier fut construit, reliant la place du marché au pont Neuf et au parc de la Garenne.
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Les Tanneries
Construites à partir du XVIIe siècle, aménagées jusqu’au début du XIXe siècle, ces bâtiments servaient au travail du cuir. Ils abritèrent jusqu’à huit établissements, un seul subsistait au début du XXe siècle. L’activité de tannerie se développa avec d’autres métiers comme la batellerie, l’élevage et la boucherie ou encore la fabrication de semelles et de sandales au XIXe et XXe siècle. « Les entreprises étaient nombreuses comme les établissements Barbé, Grézet, Laffite et Pezé. Une particularité des établissements Labadie, rue Fontindelle, était la fabrication des babouches pour le Maroc et l’Algérie ». Nérac au fil des rues – Les Amis du vieux Nérac - 2011
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L'église Saint Nicolas
En 1096, sur le lieu de l’église actuelle, le Pape Urbain consacre le premier édifice romain, une ancienne église prieurale de Bénédictins. Celle-ci est reconstruite en 1560 et devient église paroissiale en 1666. En 1749, l’édifice est en danger, ruiné par le temps et les guerres de religion. En 1755, Aubert de Tourny, intendant de Guyenne, décide de reconstruire le bâtiment. Les travaux commencent en 1758, sous la direction de l’ingénieur Jourdain, puis, à partir de 1762, sous la direction de l’architecte parisien Barreau de Chefdeville qui délègue à Nérac l’ingénieur Sauvageot. Une taxe est mise en place pour le financement de l’église. Après de nombreuses difficultés de financement, elle est achevée en 1787, sans son décor complet. La Révolution va s’en emparer quelques années, on y célèbrera le culte de la Déesse de la Raison. À partir de 1794, les cultes catholiques peuvent se réapproprier l’endroit. « Cette église est un bel exemple…
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L'ancien hôtel de ville
L'ancienne mairie (hôtel de ville) de Nérac est un édifice médiéval remanié au début du XVIIe siècle, témoin des franchises accordées à la ville au Moyen Age par les seigneurs d’Albret, puis de l’administration de cette place de sûreté protestante aux XVIe et XVIIe siècles. L'ancienne mairie ou ancienne maison commune de Nérac est implantée au cœur de la ville médiévale. Cet édifice détruit en 1611 par l'explosion d'une réserve de poudre est aussitôt reconstruit, intégrant dans le nouvel ouvrage des pans de murs médiévaux, qui sont les derniers vestiges du bâtiment. 
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La place de la mairie
Il est étonnant d’apprendre qu’une ancienne halle métallique y fut construite en 1903, avant d’être démolie en 1953. Avant d’être place Charles de Gaulle (de Gaulle qui visita Nérac le 14 avril 1961 accueilli par le député-maire Gabriel Lapeyrusse), elle fut la place du marché au blé où se négociaient les produits de la région. L’actuel hôtel de ville est une demeure construite au XVIIe siècle qui devint la maison commune, ou le nouvel hôtel de ville, en 1872.
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Le château de Nérac.
Il y a 10 siècles, mentionnée en 1088, se dresse à l’emplacement actuel du château une demeure seigneuriale appartenant à Arssieu d’Olbion. Le sire Almanieu VI d’Albret va occuper un premier château en 1259. Amanieu VII, vers 1389, le reconstruit, vraisemblablement par la partie ouest. La partie nord, la plus intéressante, de style Renaissance et dont la galerie à encorbellement demeure aujourd’hui, est construite au début du XVIe siècle par Alain d’Albret le Grand et achevé sous le règne de Jeanne d’Albret. Les parties est et sud sont édifiées courant XVIe siècle. À la révolution, le château se compose de quatre corps disposés en quadrilatère relié à la ville au sud par un pont-levis protégé par deux tours. Le château est détruit par arrêté en 1793, épargnant seulement la partie nord de l’édifice, sa galerie d’arceaux surbaissés et ses chapiteaux ornés de sculptures de personnages et d’animaux. 
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